samedi 1 février 2020

Brexit Day : jour de la fin du «janvier sec»

  

Le Royaume-Uni espère un traité « Canada Dry’ »

Premier jour du Brexit ou plutôt du début du compte à rebours avant la rupture définitive avec L’Union européenne (fin octobre selon Boris Johnson ou fin décembre ou au-delà selon Bruxelles).
C’est aussi le jour ultime du ‘« janvier sec » et du retour dans les pubs. Boris Johndon souhaite entamer des négociations en vue d’aboutir à un traité Canada-like (similaire au Ceta, conclu au bout de sept ans de tractations), aussitôt surnommé «​traité Canada Dry ».
À Bruxelles et Strasbourg, l’Union Jack, le drapeau du Royaume-Uni, a été ramené ;à Londres, il a été hissé un peu partout et des drapeaux européens ont été brûlés. Mais ces derniers flottent toujours en Écosse.
Les Britanniques, qui n’ont pas fini de devoir avaler les couleuvres que leur réservent les négociateurs étasuniens, croient pouvoir imposer leurs quatre volontés aux 27 pays du continent. Si cela n’était possible rapidement, ce sera beaucoup plus facile à moyen terme car l’UE se sera réduite comme peau de vhzgrin à un club de moinsd’unre demi-douzaine de pays de seconde zone (genre Francet et Allamagne ruinées patla concurrence britannique qui, selon la presse pro-Brexit, plonge déjà l'UE dans la panique, l'angoisse, le désespoir).
Mais à Scunthorpe (Lincolnshire), où le metallurgiste British Steel emploie 4 000 personnes (soit les 4/5es de ses efferctifs), on se réjouit moins. British Steel n’a plus de trésorerie et est à vendre. Mais le groupe détient l’usine d’Hayange (Moselle) rt la France pouttrait bloquer la vente au chinois Jingye.
Les Anglais (non les Édossais) veulent s’éloigner de l’Europe, ce qui est de toute façon inéluctable, non raison de mouvements techtoniques, mais de l’érosion des littoraux. Ce qui n'empêchera pas le prochain virus d’atteindre les côtes anglaises.
De ce côté, il semble qu’aucune manifestation de réjouissance n’ait marqué la rupture des amarres de l’Angleterre  (et évidemment pas à Gibraltar où une nouvelle taxe de 12 % va être instaurée) ;comme il serait malvenu de se féliciter trop fort de ce départ, on se contentera d’un : Bye, bye Little Trumpland-bis

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire