samedi 23 juillet 2022

To put in or not Poutine ?

Les étiqueter pour ne pas se tromper de cible…

L’actualité, oh bof… Sauf lorsqu’elle sort vraiment de l’ordinaire. Ainsi de cette suggestion d’un général ukrainien selon laquelle le Volodia (Poutine) se serait fait remplacer par un sosie lors de sa rencontre avec Erdogan et Khameni à Téhéran. Bien, pour éliminer le vrai Poutine, il faudrait l’étiqueter (un poisson d’avril dans son dos). En tout cas, s’il veut s’en charger le Bojo aura le mode d’emploi clairement indiqué sur son lance-missiles anti-blindés (un NLAW de Thales Air Defense).


Chape d’ennui à La Bernerie. D’où consultation du site du Daily Mail. Lequel fut ma principale source d’information sur les ennuis de santé du Nord-Coréen Kim Jong-un (donné mourant en octobre 2014, puis en avril 2020). Depuis, je prends les présumées fuites sur l’état de santé du Volodia Poutine avec une consolidée circonspection. Et tout autant la suspicion qu’à la suite de quelques prédécesseurs, il aurait recours à des sosies. Du coup, et en même temps, j’estime superflu de vous fournir des captures d’écran du certifié vrai président fédéral russe et de son double présumé du moment.

En revanche, dans la même édition du Mail, j’ai trouvé pissotante cette vue du Bojo (Boris Johnson) maniant un lance-missiles (Saab Bofors sous licence Thales, un Next generation Antitank Weapon, ou NLAW). Sur l’affut est peinte une flèche vers l’avant surmontée de l’inscription Fire Direction (ou sens du tir). Et rien sur le système de visée (pour ne pas confondre le petit et le gros bout de la lorgnette, soit de la lunette télescopique Trijicon, une compagnie du Michigan, qui équipe la brigade Antigang française ?). On ne saurait se montrer trop prudent lors de l’utilisation de ce type d’arme. Pas non plus de flêches haut et bas sur la crosse, un oubli sans doute… Les visages des militaires entourant le Bojo ont été floutés, serait-ce pour dissimuler quelques ricanements ? Le Bojo a aussi pris place aux commandes – en double –  d’un Typhoon à Coningsby (Lincolnshire), et s’est targué d’avoir effectué trois figures de voltige. Là encore, pour avoir pris place un jour dans un avion de la Patrouille de France (sans doubles commandes), j’y crois très fort. Les Typhoon de la RAF auraient, paraît-il, des problèmes de sièges éjectables. Bojo aurait pu penser à tester le sien.