Le Brexit méritait bien des jetons (de 50 p)
Les Bretons sont réputés têtus. Mais que dire des Grands-Bretons
pour lesquels perserverare non est diabolicum. Pour la troisième
fois, The Royal Mint (équivalent de l’Hôtel de la Monnaie) émet des dizaines de
milliers de pièces commémoratives du Brexit, frappées certte fois de la date du
31 janvier 2020.
Le Brexit à peine acté, la presse bitannique rtente d’expliquer
ce qu’il implique. Avec des titres comme « Aurais-je besoin d’’un visa pour
entrer en France après le Brexit ? » (The Independent). Ou « Quee
signifie vraiment le Brexit pour vous et moi ? » (Kate Shitffield, Daily
Express). Qu'à cela ne tienne, le gouvernement britannique multiplie les
événements commémoratifs, fait pavoiser et illuminer les bâtiments publics. Et
si des milliers de pièced portant les dates du « 29 mars et du du 31 octobre 2019 ont dû être fondues, cette fois, trois millions de ces pièces de 50 pence vont être émises, et au
total, avant la fin de l’année, dix millions seront diffusées.Le coût de l’opération
actuelle n »a pas été divulgué. Maies le coût de l’édition précédente (du
31 octobre 2019) avait été évalué à près de cent millions de livres.
Mais si la République d’Irlande opposait un veto à la sortie
du Royaume-Uni, le coût global, depuis mars 2019, serait très largement
supérieur. La ministre bitannique de l’Intérieur, Pri Patel, a déclaré à Sky News
que le Royaume-Uni « passerait outre » ;
En conséquence, même si des orthotypographes ont fait remarquer
que l’inscription comportait une coquille
(l’absence d’une virgule après le mot Posperity), ces pièces seront
mises en circulation vendredi).
Bortis Johson a déclaré que le Brexit sera effectif, « avec
ou sans accord négocié » le «31 octobre au plus tard, soit deux mois
avant la date-butoir précédemment envisagée.
Selon la députée européenne polonaise Danuta Huebner t(ou Hübner),
Boris Johnson préparerait l’opinion britannique à une sortie sans accord.Selon
Joe Barnes, envoyé spécial permanent du Daily Epress à Bruxelles, des
sources européennes auaient confié, après une entrevue avec le Britannique David
Frost, que l’hypothèse de travail est à présent le no deal : « il
semble évident que le Royaume-Uni n’a pas d’autre perspective » (“’It
was clear the UK does not have another plan,’ the source said of the
meetings with Mr Frost.).
Toujours selon The Daily Epress, e gouvernement bnitanniqauer
aurait lancé un plan de recrutement de 5 500 policiers dg douaniers d’ici
le « 31 octobre dont affectation serait le port de Douvres.
De plus, sans l’affirmer clairement, administration
britannique commence à dissuader lescitoyens européens de prolonger leur
séjour. Dernier cas en date, parmi tant d'autres, celui du chef français
Claude Bosi (deux étoiles au guide Michelinpouit son restaurant Le bIBENDUM),
résidant àf Londres depuis 23 ans, dont le refus de sa demande résidence permanente
au Home Office, présentée en octobre dernier, vient de lui être notifiée.
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