lundi 22 avril 2019

Interlude Roger Vailland : Curnonsky et les mollets féminins...

Curnonsky, laïcard, hédoniste, chevillard-équarrisseur des cultes...

D'ac', grosse fatigue... Billet écrit « au fil de l'eau » (grasse et à bouillons surnageant). Mais le PDF auquel il renvoie est (un peu) mieux. Il s'agit de Curnonsky (why not sky? Oh, you don't say so...), des femmes, et j'aurais bien glissé des morceaux de Doury dedans mais j'ai eu la flemme...
Vous le saviez, vous ? Le « Prince des gastronomes » a écrit de tout beaucoup et de... beaucoup un tout ? Franchement, jusqu'à voici-voilà quelques heures, je n'en savais rien. Béotien crasse en littérature (française ; anglaise, antan, un poil moins). Recherchant je ne sais plus quoi sur Roger Vailland, ou Claude Roy, j'ai la curiosité de consulter un article de Paris-Soir de l'un de leurs confrères. De Curnonsky ; cocasse, pas que...
De quenouille en écheveau (ou je ne sais plus trop si ce ne fut l'inverse), voilà que je m'échauffe, m'embarque et décide que j'emmènerai « du/des » Curnonsky sur l'Aziyadé (bateau dont je suis  le parrain, à moins qu'il ne s'agisse de l'Azyiadé, car je laisse toujours une chance aux dyslexiques interrogeant Google).
Curnonsky, féministe ? Oui-da. Mode début et quatre premières décennies du siècle dernier. CQFD. D'accord encore, la démonstration pèche à bâbord et tribord. N'empêche, je maintiens (en gros). Kilucru ? Zazie, assurément. Et peut-être qu'Isabelle Marie-Anne de Truchis de Varenne en reste persuadée. Ce qu'elle confirmera ou infirmera ici-même... un jour. 
Saut de ligne, sans alinéa... Histoire de tenter d'équilibrer le texte et le visuel et sans effort d'ajouter du blanc avant l'attaque du paragraphe. Ci-contre (à d. ; mais vous vous en seriez douté), des dessins de Willette. Qui cela ? Lisez le PDF, « Morale laïque : saillante chronique de Curnonsky ».
Ouf, j'ai dépassé le pied du visuel...  

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