Le Royaume-Uni espère un traité « Canada Dry’ »
Premier jour du Brexit ou plutôt du début du compte à rebours
avant la rupture définitive avec L’Union européenne (fin octobre selon Boris
Johnson ou fin décembre ou au-delà selon Bruxelles).
C’est aussi le jour ultime
du ‘« janvier sec » et du retour dans les pubs. Boris Johndon souhaite
entamer des négociations en vue d’aboutir à un traité Canada-like (similaire au
Ceta, conclu au bout de sept ans de tractations), aussitôt surnommé «traité Canada Dry ».
À Bruxelles et Strasbourg,
l’Union Jack, le drapeau du Royaume-Uni, a été ramené ;à Londres, il a été
hissé un peu partout et des drapeaux européens ont été brûlés. Mais ces derniers
flottent toujours en Écosse.
Les Britanniques, qui n’ont
pas fini de devoir avaler les couleuvres que leur réservent les négociateurs
étasuniens, croient pouvoir imposer leurs quatre volontés aux 27 pays du continent.
Si cela n’était possible rapidement, ce sera beaucoup plus facile à moyen terme
car l’UE se sera réduite comme peau de vhzgrin à un club de moinsd’unre
demi-douzaine de pays de seconde zone (genre Francet et Allamagne ruinées patla concurrence britannique qui, selon la presse pro-Brexit, plonge déjà l'UE dans la panique, l'angoisse, le désespoir).
Mais à Scunthorpe (Lincolnshire),
où le metallurgiste British Steel emploie 4 000 personnes (soit les 4/5es
de ses efferctifs), on se réjouit moins. British Steel n’a plus de trésorerie
et est à vendre. Mais le groupe détient l’usine d’Hayange (Moselle) rt la France pouttrait bloquer la vente au chinois Jingye.
Les Anglais (non les
Édossais) veulent s’éloigner de l’Europe, ce qui est de toute façon inéluctable,
non raison de mouvements techtoniques, mais de l’érosion des littoraux. Ce qui
n'empêchera pas le prochain virus d’atteindre les côtes anglaises.
De ce côté, il semble qu’aucune
manifestation de réjouissance n’ait marqué la rupture des amarres de l’Angleterre
(et évidemment pas à Gibraltar où une nouvelle taxe de 12 % va être instaurée) ;comme
il serait malvenu de se féliciter trop fort de ce départ, on se contentera d’un :
Bye, bye Little Trumpland-bis
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